mardi 21 août 2018

Épaulé et jeté

J’en causais à Béa, qui s’inquiétait du fait que j’étais retenu à la maison, pensant que je souffrais du dos. Oui, j’aurais pu, à l’époque où, salarié en librairie, je soulevais des cartons de livres pas tout le temps légers. Seulement, la sagesse de nos aînés est infinie et grâce à eux je n’ai jamais eu mal de cette manière. Comment ? Eh bien en étant initié à l’haltérophilie lors de mon passage à l’école des métiers de l’alimentation de la rue Ferrandi à Paris. Eh oui, le pédigrée du libraire est parfois surprenant, et son savoir ne l’est pas moins, surtout lorsque l’on a connu la silhouette du Tenancier à l’époque, lorsqu'il jouait au serveur de restaurant. Tout ça pour dire... et vous vous en moquez. Je ne saurais vous donner tort.

4 commentaires:

  1. Ah oui, moi aussi c'est à la sagesse de mes aînés et néanmoins patrons que je dois d'avoir appris à soulever des cartons, dans leur librairie.
    Et tout ça pour dire quoi ? (je ne m'en moque pas...)

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    1. Pour ne rien dire, c'est une nouvelle manie du Tenancier.
      Pardonnez-lui.

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  2. Le talc est il sniffable ???

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    1. Ça dérapait peu dans la poudreuse, à l'époque...

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