« Je me suis mis sous le patronage d’un nom que vous auriez voulu, depuis longtemps, avoir l’occasion d’honorer et que vous ne pouviez plus honorer qu’en moi. Aussi, est-ce le plus modestement du monde, croyez-le, que je viens aujourd’hui recevoir une récompense qui ne m’a été si spontanément accordée que parce qu’elle était réservée à une autre. » |
Alexandre Dumas fils : Discours de réception à l’Académie
française
merci
RépondreSupprimerA la sortie du vote pour savoir si oui ou non le fils Dumas (auteur, entre autres, de la désopilante et tellement distinguée saillie suivante "Nous ne dirons rien de leurs femelles - les femmes des communards de 1871 - par respect pour les femmes à qui elles ressemblent — quand elles sont mortes") entrera à l'Académie française, Victor Hugo, qui ne lui pardonne pas ses vilenies souillant les cadavres des vaincus, mais a finalement voté en sa faveur, de lui lancer : « J'ai voté pour ton père » (son ami). Dans la famille du grand Dumas père, j'imagine que vous préférez aussi le fils naturel.
RépondreSupprimerMerci de ce rappel, monsieur Wroblewski. Oui, celui-là est aimable.
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