Vernon Sullivan
Elles se rendent pas compte
Traduction de Boris Vian
n° 829
Paris, Union Générale d'Édition
Coll. 10/18
Volume double
194 pages
Dépôt légal : 1er trimestre 1974
Achevé d'imprimer : 30 septembre 1978
(Contribution du Tenancier)
Index
Elles se rendent pas compte
Traduction de Boris Vian
n° 829
Paris, Union Générale d'Édition
Coll. 10/18
Volume double
194 pages
Dépôt légal : 1er trimestre 1974
Achevé d'imprimer : 30 septembre 1978
(Contribution du Tenancier)
Index
omplètement déjanté, tout comme Et on tuera tous les affreux (je sais plus dans lequel tout à coup le chien se met à causer lors d'une progression souterraine (?) vers le lieu d'une quête, ça fait bien 40 ans que j'ai lu ça).
RépondreSupprimerOn remarquera que tout comme Boris s'est dédoublé en cet artefact américain (il a été jusqu'à retraduire en amerloque J'irai cracher sur vos tombes pour mieux mystifier le tribunal lors du procès), celui-ci se dédouble lui-même en romancier sérieux et déconneur, quoique toujours scandaleux pour l'époque : J'irai cracher… et Les morts ont tous la même peau traitent d'un sujet grave avec sobriété tandis que les deux autres déconnent à tout va dans la veine de Vercoquin.
Maintenant, sachant que Boris Vian s'affublait lui-même du pseudonyme anagrammatique "Bison ravi", à quoi pourraient aboutir les lettres VERNONSULL puisque IVAN donne VIAN ?
(Manque Complètement d'initiale, ce commentaire !)
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