Tiens, une autre vidéo...
jeudi 15 novembre 2018
André
Le blog de l’Éditeur singulier avait l’autre fois
mis en
ligne quelques couvertures d’ouvrages de Kurt Steiner, alias André
Ruellan. Le
billet était accompagné d’une très courte vidéo que je me permets de
reprendre
ici, en souvenir de trop peu de moments partagés et l’immense regret de
ne pas l'avoir fréquenté plus.
dimanche 28 octobre 2018
Mais comment va Le Tenancier ?
Eh bien, il se porte comme un charme, il s'occupe à quelques publications futures.
Ah oui... le 27 octobre dernier, il a fait l'expérience de son premier tremblement de terre.
Robert Lowry : Earthquake blues
dimanche 23 septembre 2018
Inscription retrouvée dans les ruines d'un camp retranché romain, sa translation avec les moyens du bord ou avec la mauvaise fois nécessaire qui pourrait faire accroire que le Tenancier a fait l'école hôtelière (ce qui semble avéré)
Pour une bonne Salade César, il faut une formation en tortue |
samedi 22 septembre 2018
Qui c'est les plus forts, évidemment c'est les vers !
« [Dans la charrette, en allant vers l'échafaud,] Fabre se lamentait encore sur la perte de sa comédie, ce qu'entendant, le même Danton lui dit en riant : "Des vers, avant huit jours tu en feras plus que tu ne voudras, et nous aussi." »Mémoires des Sanson — Paris 1863
(Pour le 5 avril 1794 : tome 5, chapitre III, page 76 : Procès et exécution de Danton, Camille Desmoulins, Fabre d'Églantine, etc.)
Rappelons que le tribunal révolutionnaire priva Fabre d'Églantine de sa pièce en cours de composition lors de son procès.
vendredi 21 septembre 2018
lundi 17 septembre 2018
Haussons les épaules sur le bord du précipice
Un sujet de divertissement pour le Tenancier, ces jours-ci
réside dans la récurrence de papiers à vocations « philosophiques » qui dissertent
sur le monde, l’effroi, la fin. Non qu’à ses yeux elles se révèlent
injustifiées mais il semble que tous ces messieurs (pas trouvé de dame sur le
sujet, mais je n’ai pas tout regardé) se soient donné le mot, comme un nouveau
fonds de commerce à exploiter. Le catastrophisme de salon avec la rhétorique ad
hoc plaît et alimente la petite musique des médias. La fin est proche,
repentons-nous ! Comme si nous avions négligé les avertissements, depuis
le temps et comme si tout le monde se sentait concerné. Eh non, on va tous
mourir, m’sieur dame, sachant que la seule fin du monde dont nous sommes sûrs
est celle qui accompagne la fin de notre existence personnelle. En attendant, à l’instar des années quatre-vingt lorsque nous nous résignions à recevoir
des SS20 sur la gueule au beau milieu de nos pistes discos, nous continuerons à
cracher dans l’eau où flottent les poissons le ventre à l’air. Car ce monde ne
vaut que cela. J'exagère ? Vous croyez bien à la sincérité de Hulot et au système électoral...
vendredi 14 septembre 2018
T.N.P.
(Vanne pourrie, plutôt orale, qui ne vous donnera pas une haute opinion sur le Tenancier, mais tant pis)
À Tokyo, vous avez le kabuki, à Paris nous avions le caboulot
jeudi 13 septembre 2018
Le Novelliste n°2
Le Tenancier est un gentil camarade, ainsi fait-il part de
la parution du deuxième numéro du Novelliste, tout frais, tout beau, bien qu’il
n’y participe pas pour cette fois. Le Tenancier est grand et équanime (c’est
pas dans le dico, mais il aime bien) en vous conseillant de vous le procurer.
Enfin, le Tenancier ne s’adonnera pas à sa critique, étant donné qu’il vient à peine de
le recevoir. Pour vous le procurer, c’est par ici.
Allez zou !
Allez zou !
mercredi 12 septembre 2018
Entre deux portes
« — Et à part ça, Tenancier, comment ça va, en ce
moment ?
— Ben, ça roule pour lui…
— Vous êtes bien rare.
— Tout comme les lecteurs du blog.
— Ah…
— Eh oui. »
— Ben, ça roule pour lui…
— Vous êtes bien rare.
— Tout comme les lecteurs du blog.
— Ah…
— Eh oui. »
samedi 8 septembre 2018
Réponses d'éditeurs
Coup sur coup, deux éditeurs ont adressé à votre Tenancier
un commentaire élogieux sur ses productions au point qu’il s’est demandé s’il n’y
avait pas d’erreur sur la personne. Et puis non, sachant par ailleurs que l’excès
de modestie confine justement à l’immodestie. Fort heureusement, un troisième a
su commenter notre travail de façon différente et propre à dégonfler un éventuel melon :
« Parfait !Nous allons jouir de ces trois interventions comme il se doit, bien entendu. Mais la saveur de la dernière nous a fait redescendre un peu, tout en nous faisant rire…
Nous tenons le bon bout, comme disait la péripatéticienne à son client. »
dimanche 2 septembre 2018
Question de kilométrage
Le Tenancier vient de boucler une histoire et, à cette
occasion vient de changer la recharge de son stylo-bille. Le Tenancier écrit fin
et à la main après avoir fait un premier jet au clavier (il fait trois passages
au moins avant les révisions, dont un obligatoirement manuscrit). Pour cette même
occasion, il a terminé le bloc de papier dont il se sert. Donc, les prochains
travaux du Tenancier seront composés avec des accessoires neufs. Le Tenancier a
remarqué que la recharge garantie 3 500
mètres d’écriture. Le Tenancier s’interroge :
combien de blocs tiendra-t-il avec ça ? En définitive, à la question posée
récemment sur Facebook : « Le but d’un écrivain est-il de
raconter sa vie ? », la seule réponse raisonnable serait de poser la
question de son kilométrage et de sa consommation de papier sur la distance.
Cela en dirait long sur sa graphie et ses ratures (qui consomment plus qu’une
écriture régulière — il en va de l’écriture manuscrite comme de la conduite en
bagnole !) et cela nous épargnerait quelques manifestes domestiques. Le
Tenancier est pour l’apaisement et se défie désormais des échanges byzantins.
Mais il n’empêche personne de s’y livrer. Peut-être qu’un jour le Tenancier
vous dira combien de bloc ont été consommés avec une seule recharge de stylo.
Tant pis pour vous.
Postscriptum
Faut pas déconner : le Tenancier est tout juste un écrivaillon (en plus d'être un garçon décevant) et, évoquant le grave problème du sens de l'écriture, il ne pouvait donner qu'une réponse à sa mesure.
Tant pis pour vous.
Postscriptum
Faut pas déconner : le Tenancier est tout juste un écrivaillon (en plus d'être un garçon décevant) et, évoquant le grave problème du sens de l'écriture, il ne pouvait donner qu'une réponse à sa mesure.
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