dimanche 28 août 2016

10/18 — Daniel Wilhem : Pierre Klossowski : le corps impie




Daniel Wilhem

Pierre Klossowski : le corps impie
(inédit)


n° 1323

304 p.
Couverture de Pierre Bernard, Dessin de Pierre Klossowski, Collection Jungo, Photo de Rehsteiner
Série « S », dirigée par Bernard Lamarche-Vadel
Au début, liste des ouvrages appartenant à la même série
Volume quintuple
La composition de cet ouvrage a été réalisé par EUROCOMposition S.A. Paris. L'impression et le brochage par La Nuova Stampa di Mondadori - Cles (TN)
N° d'édit. 1137 - Dépôt légal : 2e trimestre 1979
ISBN 2.264-00991-8

TABLE DES MATIÈRES :

I. ET CONTRIT
La limite - Le triangle - Le jardin - La faute - Le neutre - La perversion

II. ET IMPUR
Le rachat - L'escalier - Le rendez-vous - Le signe - Le simulacre - Le nom

III. ET OUTRÉ
La marche - La source - Le tableau - La galerie - Les portraits - Le triangle infini

IV. ET STÉRILE
Le familier - Les pères - La mère - Le couple - Le tiers - L'oeil - Le judas

V. ET CLANDESTIN
Le corps - Les choux - L'arrière-point - Le nom et le sexe - La fable blanche - Le corps impie

VI. ET COUTUMIER
Le bord - Les détournements - Le baroque - L'incivilité - La sédentarité - La nomadité - La coutume - La commutation - Le lecteur angélique


(Contribution de Grégory Haleux)
Index 

10/18 — Colloque de Cerisy : Francis Ponge




Ponge inventeur et classique

Colloque de Cerisy
Dirigé par Philippe Bonnefis et Pierre Oster

n° 1127

448 p.
Couverture de Pierre Bernard, Photo DR
En début d'ouvrage, trois pages présentant les publications du centre culturel de Cerisy-la-Salle. Les dix dernières pages consacrées au catalogue 10/18.
Volume sextuple
Composé en France par EUROCO-S.A. Imprimé en Italie par La Nuova Stampa di Mondadori - Cles (TN)
N° d'édit. 953 - Dépôt légal : 1er trimestre 1977

TABLE DES MATIÈRES :

Le Phénomène Ponge, par Philippe Bonnefis

I. Ponge qui n'a de cesse, par Jean Tortel

II. Francis Ponge et la lumière critique, suivi de La preuve par Ponge, par Joseph Guglielmi

III. Ponge tautologique, ou le fonctionnement du texte, par Michael Riffaterre

IV. Une poétique générative et transformationnelle : Le Lézard, par Jean-Michel Adam

V. Signéponge, par Jacques Derrida

VI. Sur les tablettes d'Eros Antéros : Ponge et Bataille, par Marcel Spada

VII. Ponge et le plaisir, par Raymond Jean

VIII. Quelques phrases mises de côté pour Francis Ponge, par Gérard Farasse

IX. « Le mot certes... » écrit Ponge, par Suzanne Allen

X. La poésie et la langue, par Henri Maldiney

XI. Nietzsche ou l'arrière-texte pongien, par Serge Gavronsky

XII. L'infinitif pluriel et la troisième personne du singulier, par Jean-Luc Steinmetz

XIII. Le texte et la mort, par Christian Prigen

XIV. Notes collectives pour Francis Ponge, par Frédéric Berthet, Jean-François Chevrier, Jean Thibaudeau

XV. Questions à Francis Ponge


(Contribution de Grégory Haleux)
Index 

samedi 27 août 2016

10/18 : Il y a des poètes partout — Revue d'Esthétique n°3-4/1975




Il y a des poètes partout
Revue d'Esthétique n°3-4/1975

n° 1001


320 p.
Couverture de Pierre Bernard, Illustration : Fabio Rieti
Série « Esthétique », dirigée par Mikel Dufrenne
En début d'ouvrage, la liste des ouvrages de la Série d'Esthétique, parus et à paraître
Volume sextuple
La composition, l'impression et le brochage de ce livre ont été effectués par Firmin-Didot S.A., pour le compte des éditions U.G.E.
Achevé d'imprimer le 27 octobre 1975
N° d'édit. 812 - N° d'imp. 7694 - Dépôt légal : 4e trimestre 1975

TABLE DES MATIÈRES :


La poésie : où et pourquoi ?, par Mikel Dufrenne

Le sens poétique, par Jean Cohen

Le vers libre et l'avenir de la poésie, par Georges H. F. Longree

Comment on devient un « poète arrivé », par Georges Raillard

La poésie comme électricité, par Dominique Noguez

Réponse à trois questions, par Michel Bulteau

1967 n'est pas mil neuf cent dix neuf, par Yves Buin

La poésie sauvage au Québec, par Guy Robert

Les bergers fous de la rébellion - Figures et aspects de la beat generation, par Jean-Noël Vuarnet

Rub out the words - Entretien entre Brion Gysin et Gérard-Georges Lemaire (Paris, novembre 1974)

La poésie populaire grecque moderne, par Eratosthène Kapsomenos

Consentir un sang..., par Geneviève Clancy

Quelques poèmes

Actualité : Huitième Congrès International d'Esthétique

Un tout petit Watergate français (suite)

Société des études renaniennes

Les premières journées de Saint-Charles

L'Âge d'Or - Première ébauche par le Théâtre du Soleil, par Catherine Monnier

Fous de vivre, film de Peter Robinson, par Maryvonne Saison

« Des femmes, des femmes, il nous faut des femmes » (anonyme XIXe siècle), par Anne Cauquelin

Recherche poïétiques, par Maryvonne Saison

Roland Barthes comme Don Juan, par Pierre Lepape

Expérience religieuse et expérience esthétique, par Noëmi Blumenkranz Onimus

Nouvelles écritures américaines, par Michel Zéraffa

Art et politique, par O. Revault d'Allonnes


(Contribution de Grégory Haleux)
Index 

Gazette du Vieux Paris, n° 14
(Numéro "Bonapartiste")

vendredi 26 août 2016

Triste Trieste

« Lâcheur est Trieste, hélas ! et j'ai lu tous les livres. »  
George WF Weaver (28 juillet 2016 à 21:09)
 
« Cela étant, il faut savoir que, à proximité de ladite ville, les panneaux indicateurs affichent "Trst".
Je pourrais vous en parler, cher Tenancier, j'anecdoterai sur le sujet... »
Otto Naumme (29 juillet 2016 à 07:26)
 
« Au contraire, cher Tenancier, je pense que voilà une trieste nouvelle. »
Otto Naumme (5 août 2016 à 08:23)
 
« C’est le moment que choisit Carlo Papucci pour griffonner mystérieusement sur un carnet d’écolier ce curieux message presque en forme d’anagramme qu’il me tend ensuite avec un air de conspirateur souabe :

T T T T T
E R R R R
R I I S I
G E E T S
E S S
T
S T T
E
T E


U



M



(Latino) (Italiano) (Tedesco) (Slovène) (Sempre)
 
Tout est dit là ! Au carrefour des cultures et des langues, la ville-frontière cherche son unité et ne la trouve que dans une sorte de tristesse qui durera (sempre) toujours ! Il me rappelle ainsi que nous sommes dans une ville où, par dizaines, des adolescents romantiques se suicidèrent, des écrivains abandonnèrent leurs noms et choisirent des pseudonymes pour mieux s’intégrer, dans un endroit du bout du monde où la douleur semble d’abord essentiellement métaphysique. »
Franck Venaille : Trieste  (1985)
(Et pendant ce temps, la fille du Tenancier visite la ville...)

jeudi 25 août 2016

Le fond et la forme de Le Rouge

Puisque vous avez été quelques-uns à apprécier l'adaptation par Kafé du Mystérieux Docteur Cornélius de Gustave Le Rouge, voici deux planches supplémentaires. On notera, si l'on guette le numéro en bas à droite tous les deux strips, que cette division induit une parution en feuilleton dans la presse, de deux strips — justement —  en bas de page. Ce petit détail nous fait plaisir tant la fidélité se dénote aussi par d'infimes détails de forme.

Étonnement passager

Le lecteur s'étonnera sans doute du silence du Tenancier alors qu'il était si bien lancé. Qu'on ne s'inquiète pas. Le Tenancier digère...

mardi 16 août 2016

Une réapparition du Docteur Cornélius

Au XXe siècle commençant, Gustave Le Rouge aura pressenti la fièvre urbaine, à celui qui aura précédé il aura gardé la mémoire d’une littérature obsédée par des questions souterraines, comme celle de l’identité — Lon Chaney, était la face cinématographique de Le Rouge. Ci-joint la couverture et une planche de l’adaptation du Mystérieux Docteur Cornélius par Kafé. Il y a dans l’apparente naïveté des dessins et l’absence de tout lyrisme la même liberté que nous accorde Le Rouge dans ses romans : ne pas aller trop loin permet au lecteur de prolonger le récit par sa propre vision. Telle est cette culture populaire qui s’emploie à stimuler la rêverie de ses lecteurs et non la norme poussive à laquelle adhèrent nombre de nos contemporains, qui ont labellisé en « littérature de l’Imaginaire » une suite de stéréotypes. Le travail de Kafé donne une saveur analogue au premier jour où l’on a ouvert le Docteur Cornélius, avec une promesse que l’auteur pouvait tenir, en se reposant sur ses lecteurs. Le présent travail est inédit. On aimerait qu’il ne le reste pas longtemps. 

vendredi 12 août 2016

Charade

Encore une charade, de la même époque que la dernière fois :  

Tu perdras mon second, si tu n’as mon premier ;
En deux sens différents, mon tout peut le comprendre ;
Et si tu t’y prends bien, tu pourras me surprendre
Sur les lèvres d’Iris, ou bien dans ton grenier.  
(Par M. le Ch. De P***)
A vous de jouer, il suffit de me donner la solution en commentaire (au fait, signez d’un nom ou d'un pseudo, tout commentaire anonyme sera supprimé, même s’il est bon.) j'indiquerai alors la source.

Gazette du Vieux Paris, n° 13
(Numéro révolutionnaire)