Démontrons une nouvelle fois qu’un certain cinéma dans les sixties se piquait de littérature (on l’a vu avec Visconti l’autre fois), alors que la bourgeoisie actuelle nous atterre par la viduité de ses rayonnages à travers ses productions cinématographiques. La question est simple : d’où sort ce photogramme d’un livre tenu quelques secondes auparavant par une comédienne pour laquelle nous aurions conversé avec le diable afin d’obtenir toutes les audiences auprès d'elle (surtout dans ce film !), et même plus si affinités. Hélas, de toute façon, votre Tenancier « arrive trop tard », ce qu’il se dit continuellement tant au regard de l'Histoire que certaines de ses visées érotiques.
dimanche 14 septembre 2025
Jeu
Démontrons une nouvelle fois qu’un certain cinéma dans les sixties se piquait de littérature (on l’a vu avec Visconti l’autre fois), alors que la bourgeoisie actuelle nous atterre par la viduité de ses rayonnages à travers ses productions cinématographiques. La question est simple : d’où sort ce photogramme d’un livre tenu quelques secondes auparavant par une comédienne pour laquelle nous aurions conversé avec le diable afin d’obtenir toutes les audiences auprès d'elle (surtout dans ce film !), et même plus si affinités. Hélas, de toute façon, votre Tenancier « arrive trop tard », ce qu’il se dit continuellement tant au regard de l'Histoire que certaines de ses visées érotiques.
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Je me demande si ce film ne serait pas tirer d'un roman d'un certain Chase...
RépondreSupprimerTrop vague : la description de la comédienne par le tenancier correspond autant à Rita Hayworth qu'à Dorothy Malone ou Lauren Bacall, pour ne citer que les trois premières me venant à l'esprit. Allez donc vous y retrouver...
RépondreSupprimerEncore que le mot sixties élimine deux des citées plus haut.
RépondreSupprimerNe s’agirait-il pas de Jeanne Moreau dans Eva de Joseph Losey ?
RépondreSupprimerPaul
Ou bien Jean Seberg dans Choc de Mervyn Le Roy ?
RépondreSupprimerComme Paul je penche pour "Eva", tiré d'un roman de James Hadley Chase paru à la Série Noire en 1947.
RépondreSupprimerLe Tenancier vous demandait seulement le titre du film. Vous êtes trois à avoir bien supposé, il s'agit en effet d'Eva, de Losey. Quand à la comédienne pour laquelle il aurait bien tenté la damnation, non ce n'est pas Moreau qui, à son avis, joue fort mal dans ce film (il ne dira rien des autres).
RépondreSupprimerJ'ai affaire à des coriaces. Il devient de plus en plus difficile de faire durer un jeu sur ce blogue...
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Virna Lisi.
RépondreSupprimerLisa Gastoni est tout à fait plausible aussi. Mais bon, discrétion oblige...
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