Tous le monde y pue,
Y sent la charogne,
Y a que l'grand Babu
Qui sent l'eau d'cologne
Tous le monde y pue,
Y fait mal au cœur,
Y a que l'grand Babu qu'a la bonne odeur
Chirac, deuxième moitié des années 80 : non seulement "le bruit et les odeurs" (c'est lui qui puait grave), mais rappelez-vous les joyeux clowns compères du SAC, Pasqua et Pandrau et la brigade des voltigeurs qui nous en mettait plein les jambes, et puis Bernard Pons et le massacre de la grotte d'Ouvéa, et François Léotard avec son "mieux-disant culturel" dont les meilleurs représentants s'avérèrent Bouygues, Lagardère et Berlusconi pour la privatisation de l'ORTF, sans parler des privatisations à tire-larigo, tout ça sous l'œil soi-disant réprobateur mais au fond bienveillant de Tonton Mitterrand, adulé par Plantu pourtant pas si con, etc., etc.
Je me souviens d'un slogan, en 1986 (année du dixième anniversaire du RPR) : Chirac, matraques, t'es pas un démocrate !
Elle est enfin crevée, la charogne, même si hélas ceux qui l'ont si souvent sucée prolifèrent.
(et là, remarquez, pas de point de suspension ni d'exclamation, juste la rugueuse réalité contre laquelle nous tentons tant, toujours, de brandir notre grief — et merci Arthur !)
Tout à fait judicieux.
RépondreSupprimerFurax.
Indibutablement !
SupprimerLamentable Bitru…
RépondreSupprimerChirac, deuxième moitié des années 80 : non seulement "le bruit et les odeurs" (c'est lui qui puait grave), mais rappelez-vous les joyeux clowns compères du SAC, Pasqua et Pandrau et la brigade des voltigeurs qui nous en mettait plein les jambes, et puis Bernard Pons et le massacre de la grotte d'Ouvéa, et François Léotard avec son "mieux-disant culturel" dont les meilleurs représentants s'avérèrent Bouygues, Lagardère et Berlusconi pour la privatisation de l'ORTF, sans parler des privatisations à tire-larigo, tout ça sous l'œil soi-disant réprobateur mais au fond bienveillant de Tonton Mitterrand, adulé par Plantu pourtant pas si con, etc., etc.
Je me souviens d'un slogan, en 1986 (année du dixième anniversaire du RPR) :
Chirac, matraques, t'es pas un démocrate !
Elle est enfin crevée, la charogne, même si hélas ceux qui l'ont si souvent sucée prolifèrent.
(et là, remarquez, pas de point de suspension ni d'exclamation, juste la rugueuse réalité contre laquelle nous tentons tant, toujours, de brandir notre grief — et merci Arthur !)